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 Slayer's Home - Une lettre n'est destinée qu'en direction d'un bûcher

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MessageSujet: Slayer's Home - Une lettre n'est destinée qu'en direction d'un bûcher   Slayer's Home - Une lettre n'est destinée qu'en direction d'un bûcher Icon_minitimeVen 24 Avr - 22:50


Pv premier post William


Dans la vie quotidienne, les tâches quotidiennes nous semblent parfois répétitives mais également monotones. On les accomplit par habitude, envie ou obligation. Elle occupe nos journées et notre esprit tant qu’on ne les a pas accomplis. Elle gravite autour de nos vies tout en la régissant. Voilà ce que sont les tâches quotidiennes. Personne ne peut y échapper sauf, si vous avez un personnel s’en chargeant. C’est ainsi qu’assise devant le journal du matin, Karly Slayers savourait une tasse de café fumante qui lui servirait à tenir éveillée le reste de la journée. Les grandes lignes du New York Wizzard semblaient bien fades par cette journée ensoleillée. On ne parle seulement que de chat écrasé ou de vieilles femmes attaquées par des délinquants nés moldus. On ne savait même pas à quoi ressembler leurs visages qu’on accusé toujours les mêmes. Tournant les pages vers son thème favori, le dernier match des Cheyenne n’arrivait même pas à faire sourire de plaisir la jeune femme. Le chroniqueur était nul, se contentant seulement de parler de l’apparition d’une grande famille de sang pur lors du match plutôt que de se contenter de relater le match et ses immanquables.

C’est alors que plongé dans ses critiques internes, un grand crac retentit. Relevant la tête avec curiosité, Karly se demandait bien de quoi il s’agissait. Cela semblait provenir de la cheminée. Attrapant sa tasse à café, la jeune femme se rapprocha du salon tout en contournant le bar qui servait à ouvrir la cuisine en cuisine américaine sur la salle à manger. Le craquement ressemblait plus à du vieux bois qui semblait rendre l’âme. Avaient-ils des problèmes de termites dans la maison ? Ses petites bêtes étaient terribles mais un bon sortilège permettait de s’en défaire. Ou alors une bonne plante carnivore d’insecte. Bien qu’étant repoussée par les serres à cause d’un traumatisme – et oui, certains ont la phobie du vide ou de l’avion, Karly s’est à la fois de l’eau mais aussi des serres – d’enfant, elle se renseignait souvent sur les nouveautés qui apparaissait. Tasse aux lèvres, elle arriva devant la cheminée et se baissa légèrement afin de voir ce qui se passait dans la cheminée. Grosse erreur. En effet, à peine abaissée, le bruit s’amplifia. La curiosité prenant une fois de plus le dessus, Karly déposa un pied dans le cœur de la cheminée en relevant la tête vers le haut. Le craquement s’amplifia pour devenir une horreur à l’état nature. Une chute littérale de courrier inonda Karly qui en renversa son café. Immobile, elle avait seulement fermé les yeux. Généralement, c’était un seau d’eau qu’on vous déverse sur le corps de cette façon… ici, il s’agissait de lettres. Et oui, la famille Slayers recevait énormément de courrier. Un simple coup d’œil sur le parquet inondé de lettres et colis en tout genre firent griser Karly. Se raclant la gorge tout en gardant son calme, la jeune femme implosa lors de son cri.

« Chéri, tu peux venir s’il te plait ! … TOUT DE SUITE ! »

Sur le sol, des lettres roses bonbons, avec de jolis petits cœur ou fleurs remplaçaient le parquet chêne du salon. Plusieurs parfums se mélangeaient alors, commençant à lui donner la nausée. Sur certaines d’entre elles se trouvaient plusieurs taches de café. D’ailleurs, sur le haut de Karly aussi. Elle allait devoir se changer, maintenant. S’appuyant contre le mur, elle contempla devant elle le désordre que le courrier d’admiratrices avait provoqué. Les magasines étaient par-terre, le tapis était taché de café, la suie avait accompagné quelques lettres est s’immergé entre les lattes du parquet. Et on ne parlait pas de l’humeur de Karly. De bon matin… Elle aurait préféré un Samedi tranquille. Du bruit se fit entendre et William apparut dans l’embrasure de la porte.

« Je crois que c’est pour toi ! Tu as cinq minutes pour tout nettoyer ou c’est toute la maison que tu récureras avec une brosse à dent. » Le tout dit sur un ton mielleux et un grand sourire charmeur. Non, Karly ne voulait pas montrer que cet amas de lettres pleines d’émoi et d’hystériques l’énervait. Quelle épouse cela n’énerverait pas ? Mais Karly refusait d’admettre qu’elle était jalouse. C’est pourquoi elle flanqua sa tasse entre les mains de son mari, l’embrassa et monta au premier afin de se changer et de se laver, son visage étant empreint de suie lui aussi. Une chose était certaine : William avait intérêt à ranger tout ceci s'il ne tenait pas à faire de vieux os.
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